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L’actu de la semaine : le forum de l’immobilier
Samedi 23 novembre, la FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier) organisait la deuxième édition du Forum de l’immobilier à Tours. Au programme : Conseils pratiques et ateliers proposés par les professionnels du secteur.
Pour cette occasion, nous nous sommes intéressés à l’accès à la propriété. Cette année en France, le prix moyen pour l’achat d’un bien s’élève à 220 000 euros (162 000 € en 2004). Un record. Néanmoins, entre la sensible baisse des prix de l’immobilier et des taux d’emprunt historiquement bas, il semblerait que ce soit la bonne période pour acheter.
Lien vers les chiffres de l’année 2012 dans le département
L’objet de la semaine : un verre de vin
Biotyfoule, le salon des producteurs de vin bio de Touraine a eu lieu les samedi 23 et dimanche 24 novembre, à la mairie de Tours. Une trentaine de viticulteurs, des régions de Bourgueil, Chinon et Montlouis-sur-Loire étaient présents pour une dégustation de leurs crus.
En Indre-et-Loire la viticulture bio représente 14% des surfaces, soit deux fois plus qu’à l’échelle nationale. Et même si les tarifs sont un peu plus élevés, les clients sont présents. Le bio est même un argument de poids pour l’exportation, notamment à destination des États-Unis.
Pascal Lambert (photo) est un des premiers viticulteur à s’être converti au bio dans le département. Avec quelques collègue il a crée Biotyfoule pour faire connaître ses pratiques au grand public.
Les lieux interdits : le Technicentre SNCF de Saint-Pierre-des-Corps
Avec ses trente hectares, le centre technique de la SNCF de Saint-Pierre-des-Corps est l’un des plus grands technicentres de France. Plus d’un millier de cheminots y travaillent, pour 44 métiers différents. Dans les grands ateliers, on répare les moteurs des Eurostars, des TER de la région Centre.
Mais le technicentre de Saint-Pierre-des-Corps, c’est surtout la « clinique » des RER. Et pour cause : y sont rénovés les RER des lignes C et D. Du sol au plafond, les rames des trains franciliens sont entièrement refaites. Il faut entre 35 et 50 jours pour remettre à neuf un train dans sa totalité.
La carte blanche : le collectif « reprise Colette »
En difficultés financières, le café-comptoir « Chez Colette, à Tours-Nord, »est sous la menace d’un redressement judiciaire. Au quartier Paul-Bert, on ne parle que de la possible fermeture de ce bar historique, où se côtoient artistes et associations. Alors, pour lui venir en aide, un collectif s’est créé début novembre. Son nom : « reprise Colette ». Son but : racheter le fonds de commerce du bar aux deux actuelles gérantes.
Pour cela, il faut trouver de l’argent, puisque le montant du rachat du bar, ajouté aux remboursement des dettes accumulées, s’élève à 50 000 euros. Une somme conséquente, qui oblige le collectif à agir. Pour se financer, il mise avant tout sur les dons. Vous pouvez envoyer les vôtres à l’ordre de l’association les Colettes, à l’adresse suivante : 57 quai Paul Bert 37100 Tours.
Le groupe local : Electrik Vocuhila
Né il y a trois ans à Berlin, le projet Vocuhila de Maxime Bobo et Etienne Ziemniak s’est longtemps défini comme un projet jazz. Un saxophone, une contre-basse et une batterie, tout ce qu’il y a de plus classique. Mais il y a un an et demi, le groupe tourangeau s’est agrandi et a pris un tournant avec l’arrivée d’un guitariste électrique. Le contre-bassiste, lui, passe à la basse électrique : Electrik Vocuhila est né. Leur recette : beaucoup d’influences africaines et de la Nouvelle-Orléans, et toujours beaucoup d’improvisation. Le groupe a sorti son premier album, en printemps dernier.
Voici l’un des titres de leur album : « Parade ».